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Yaegahara

4 juillet 2006

Bac avec... Mention Bien.

13 Français oral
16 Français écrit
16 Maths
17 Physique Chimie
17 S.V.T
14 Histoire-Géo
15 Anglais
10 Espagnol
5 Philo
16 Sport
17 TPE Phys.Chimie

Moyenne: 15.15, mention Bien.

Trop fière :)

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18 février 2006

Il.

Je serai tentée d’écrire tout ce qui se passe en moi quand je suis avec lui, quand je pense à lui, quand je suis loin de lui. J’en crève d’envie, mais les mots d’amour sont usés et n’ont plus de valeur. N’importe quelle nouvelle phrase parlant d’amour nous paraîtra vieille et déjà vue. Je n’écrirai des mots d’amour que lorsque j’aurai trouvé ceux qu’on n’a jamais entendus.

Ecrire me libère, et ces sentiments, je ne veux pas m’en libérer. Je puis les partager volontiers, vous n’avez qu’à lire mon visage, ou vous exposer fièrement la grandeur de ce que j’éprouve pour lui. Mais je veux que le tout reste bouillonner en moi encore longtemps, je veux retenir prisonniers ces sentiments car si je m’en libérai, leur magie disparaîtrait. Je n’imagine pas les conséquences, à vrai dire je ne veux pas les imaginer. A quoi bon les imaginer.

Notre lien est ce qu’il y a de plus pur, sans aucun artifice, armé de désir et de dépendance. Ne voyez pas mal le terme dépendance. On n’est pas amoureux si on n’est pas dépendant. Je suis amoureuse de tout son être, de son corps comme de son esprit, de ses sourires comme de ses grimaces, de ses heures de gloire comme de son inconfiance en lui-même.

Je le respire.

25 décembre 2005

A la recherche de l'aspirateur magique.

J'ai du mal à tout étaler, j'ai l'impression que mes pensées sont trop petites, que si je parvenais péniblement à les exposer ici, elles seraient comme "étalées sur une tartine de beurre trop grande". A choisir entre paresse et soulagement, je ne sais même pas ce que je préfèrerai. Je sais qu'une tonne de choses fourmillent là-haut mais je ne parviens ni à prendre le recul nécéssaire pour les trier, ni à les identifier. Beaucoup sont des araignées de l'angoisse, celle qui est ancrée là-haut depuis Septembre. Ces araignées savent qu'elles ont encore au moins deux trimestres pour tisser inlassablement là-haut, au chaud. Elles en profitent, elles ont le temps, et elles se marrent.
Pas moi. Moi ça ne me fait pas rire. Parce qu'elles me perturbent, parce qu'on apprend moins bien la tête remplie de toiles d'araignées, parce qu'on souffre de trier avec la tête pleine de toiles d'araignées. Alors si quelqu'un connaît un bon aspirateur...

Je n'arrive pas à travailler. Je n'arrive plus. Si je ne m'y mets pas aujourd'hui, je suis en retard. J'veux pas, mais j'y arrive pas. Ça ne m'intéresse plus. Je ne sais plus si ça m'intéresse vraiment ou si je fais semblant de m'y intéresser pour que travailler me paraisse moins pénible. C'est triste tout de même.

Je suis obsédée et obsessionnelle.

La cinquième phrase du vingt-troisième post de ce blog est, je cite ( :D ): "Je suis pas intelligente, je suis lucide." Ça aurait pu être n'importe quoi, vu la hauteur à laquelle mon blog planait à ses débuts (encore que...), mais non, c'est une phrase intelligente. Heu, lucide.

Ah oui, au fait, Joyeux Noël...

14 décembre 2005

Inondation.

Trop de larmes répandues en vingt-quatre heures et trop de choses refoulées pour ne pas ouvrir la bouche ici. C'est indécent et ridicule de tout vous raconter. C'est personnel et trop concret. C'est trop bête. Tant pis.
Un 6 en Maths et j'ai l'impression que ma troisième place dans la classe (oui, nous sommes classés maintenant, merci technologie) est menacée, que mon avenir même l'est. Pourtant, tout le monde me l'a dit, même la sergent prof de Maths, ce n'est qu'une note. Je sais mais je suis tellement déçue de moi-même. J'avais fait un sans-faute, un premier trimestre sans faux pas, je pensais avoir trouver la stabilité qui m'a toujours manqué, et il faut que la première note du second trimestre fiche tout en l'air. Ca me rend triste, vraiment. C'est idiot je sais.
Sur mon bulletin il y aura marqué soucieuse de bien-faire, d'après mon prof principal. C'est drôle, je n'aurai jamais pensé ça de moi. Je ne suis pas perfectionniste, même si je m'en donne l'air, la preuve, le design de cet endroit est très laid et je le sais très bien. J'avais certes senti une évolution, un travail plus accru, sans que ça me pèse ou me déplaise. Mais je ne pensais pas que les profs me voyaient comme une fille soucieuse de bien faire. De toute façon, y'a pas de quoi se vanter, soucieuse de bien faire ne veux pas dire fais bien.

Détrompez-vous, ce qui me perturbe tant n'est pas mon 6 en Maths, même s'il m'a secouée. Mais je n'ai pas encore assez de recul pour bien définir la cause de mes récentes crises du soir. La fatigue s'amuse avec moi, certainement. Mais je crois que ce sont pour la plupart des crises d'angoisse, ou de quelque autre sentiment similaire. Cette année charnière et remplie me laisse tout de même le temps de trop réfléchir. A l'année suivante. L'année dernière, je savais où j'allai. Cette année, il faut vraiment que je trouve un taf d'été. Et j'aimerai tellement savoir où je vais. J'angoisse de quitter ce lycée que je fuis dès que j'ai une minute de libre (en me réfugiant dans le seul endroit que je n'ai pas encore envie de détruire: le CDI, ou en sortant pour aller n'importe où mais ailleurs) pour me retrouver dans quelque chose qui ne me plaira pas. Seule. Je ne veux pas être seule. Et encore moins sans lui. Etre ensemble vingt-quatre heures sur vingt-quatre pourrait nous nuire, mais ne le voir qu'un week-end sur deux me nuirait certainement. Etre ensemble vingt-quatre heures sur vingt-quatre pourrait nuire à notre travail, mais ne le voir qu'un week-end sur deux m'empécherait certainement de me concentrer. Je ne veux pas avoir à faire de choix. Je ne choisis pas mes études en fonction des siennes, je veux donc absolument que par hasard nos études aient lieu dans la même ville. Je suis dépendante de lui. Et je sais ce que je dis. C'est expérimenté et prouvé. Je ne veux pas avoir à réorganiser une relation avec des kilomètres alors que je ne peux pas me passer de lui en le voyant plus que je ne devrais.

Est-ce que c'est dangeureux d'aimer au point de ne plus pouvoir se passer de lui? Est-ce qu'on peut aimer en pouvant se passer de lui? Est-ce que je fais bien de me poser ces questions? Est-ce que je m'en pose trop?

19 novembre 2005

Hop, un petit saut par ici. Ca n'est pas très

Hop, un petit saut par ici. Ca n'est pas très sérieux, je suis en compos cette semaine... Mais, au risque de vous paraître prétentieuse - ce serait mal interpréter mes paroles, je ne me sens pas plus le besoin de travailler ce week-end que les autres. J'ai bossé régulièrement, j'ai bossé aujourd'hui et je bosserai demain comme tous les autres week-end, bac blanc ou pas. Et si je me plante, ça ne sera pas la faute d'un manque de travail. Na.
Ca me fait rire de voir les autres s'auto-séquestrer après avoir passé des semaines devant la télé ou en boîte. Niark.
Je suis mauvaise, nan?

J'ai reçu un long mail de Sarah, la môman de ma famille d'accueil à Bristol. J'en aurai crié de joie.

Mon orientation se précise. Une Fac pluridiciplinaire, tout en mettant l'accent sur les matières scientifiques. J'ai pas beaucoup de choix, mais je devrai trouver. Je continue à chercher. Au pire je me forcerai un peu pendant trois à faire quelque chose qui ne me plait que moyennement. Un risque à prendre.
Je ne sais pas si je vous ai expliqué ce que je veux faire. Ca mérite un petit détour je crois, c'est toujours drôle d'écouter des gens butés.
Je veux être maîtresse. Je veux entrer à l'IUFM ou au CFP. Pour ça, il me faut une Licence. Alors je cherche une licence à faire. Je m'en fiche un peu de ma licence, mais il faut contenter mes parents en restant dans le scientifique et me contenter en trouvant un truc pas trop chiant. Je m'en fiche parce que je sais ce que je veux faire, et que je sais que c'est ce que je ferai. Je sais que j'aurai le concours de l'IUFM, et le CAPE. Je le sais, c'est tout.

Marrant, hein? Ne vous moquez pas, je vous jure que dans quatre ans vous ne me verrez pas poubelleuse, j'y serai, à l'IUFM.

Voyez comme je suis chiante et terre-à-terre maintenant que je ne suis plus mélancolique.

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30 octobre 2005

C'est drôle, je suis passée par hasard, pour une

C'est drôle, je suis passée par hasard, pour une faire une p'tite recherche. Et j'ai vu qu'un ou deux me réclamai. C'est gentil ;). En effet, la Term' n'est pas de tout repos. En fait, si vous voulez tout savoir, je me suis découverte une passion pour le travail, et pour le travail bien fait. Je savais déjà que j'étais maniaque, mais je ne savais pas que j'aimai travailler. Je n'ai jamais vraiment travaillé, j'ai toujours réussi à m'en sortir en ne bougeant que la première phalange du petit doigt. Alors, bien sûr,ça fait tout drôle, de me voir passer mon temps à travailler. D'ailleurs je crois que mes copines me regardent bizarrement. Ce qui est bien, c'est que j'aime ça, que ça m'éclate. Mon coeur ne soupire plus. J'ai maintenant le coeur qui aspire et les yeux qui voient grand. J'ai de l'espoir, dirons-nous, et si ça ne marche pas, et alors?

Petit flash-back sur mon été, qui a été le meilleur, à ce jour, que j'ai jamais passé. Les deux semaines en Angleterre furent géniales, j'ai toujours aimé la langue anglaise, et aujourd'hui plus que jamais. J'adore ce pays, cette culture. J'ai projeté de faire une fac' d'Anglais, mais mes parents disent que c'est stupide, sortant de Term' S, de se fermer autant de portes. Les deux semaines de camping avec mes potes furent elles aussi géniales, et indescriptibles. Et si je remontai encore plus loin dans le temps, je vous parlerai de la Fête de la Musique. Non, trop de choses à dire. Et puis les raconter ici ne servirait à rien. Ici, c'est mon fourre-tout de haine, de tristesse de ressentiment, de désespoir. Et ces souvenirs sont joyeux, lumineux. Sachez juste cela. Et sachez que cette nuit là, je suis sortie avec lui. Et qu'actuellement, je suis toujours avec lui. Et que c'est très joli, nous deux. Plus joli par comparaison à bien d'histoires que je connaisse, mais je n'ai pas besoin de comparaisons. C'est joli, très. Je ne me demande pas si c'est l'homme de ma vie, l'homme de notre vie n'est que chimère. Je l'aime sans me poser de questions. Je vois loin, mais j'attends et ne vais pas au devant. On est jeunes, on a le temps, et ça, croyez-moi, ça ne fait pas longtemps que je l'ai assimilé.

Nous avons été au Festival Halloween de Kemper hier soir, tous les deux (nos amis parlent beaucoup mais agissent peu). Nous avons vu Dahlia, Luke, Dyonisos et Louise Attaque. Dahlia bof, une première partie copiteuse, tantôt aux accents placébiens, tantôt aux accents neo-punk. Luke, rien à dire, exactement comme je les imaginais en Live: géniaux. Dyonisos. Arh. Le décor était superbe (des arbres en métal très Burtonniens, l'intro était d'ailleurs une musique d'Edward ScissorHands de Danny Elfman) et un chanteur  qui est un grand malade, vraiment. Accessoires sur scène, un slam looong d'une dizaine de minutes, il nageait le crawl et est revenu avec seulement la moitié de ses fripes sur le dos. Mon chéri ne connaissait pas, il a adoré. Quant à Louise Attaque, je fus agréablement surprise, les imaginant plus mous en concert. 'Oilà, un jolie soirée.

Je viens d'apprendre que Tarja Turunen est virée de Nightwish. Argh, c'est tout ce que je peux dire, comme ça, à chaud.

J'ai oublié de vous dire que mon blog n'est pas sacrifié que sur l'autel du travail, mais aussi celui de la lecture. Je dévore, entre deux exercices de Maths, des pages et des pages imprimées de petits caractères que l'on appelle les lettres et que j'adore.

Voilà pour ce qui est de mes nouvelles... ;)

Merci à Elsa, Kowalsky, et Laureline, d'avoir arrosé les plantes en mon absence. Elles sont plus belles que jamais.

9 juillet 2005

Z'ai énormément de choses à dire. La fête de la

Z'ai énormément de choses à dire. La fête de la musique, Lui, l'Ile avec les copains pendant un peu moins de deux semaines, le concert (nul mais extrèmement drôle et pogotant) de Superbus, les attentats. Tout plein de choses à dire raconter mettre en mots soulager louer et s'étonner. Mais je n'ai pas le temps; je pars lundi matin pour Bristol. See You Soon.

9 juillet 2005

Bac...

bac

J'ai pas pu m'en empècher... ;P

14 juin 2005

Comportement inquiétant, ou retombe-je en adolescence?

J'ai du mal à me reconnaître.
D'abord parce que je suis sociable. Si je vous jure.
Ensuite, parce que, moi, la grande stressée, je n'ai stressé qu'un peu pour mon pestacle de danse, et pas du tout pour mon écrit de Français. Je suis arrivée et repartie aussi cool que si j'avais fumé un pet'.
Enfin parce que je m'en fiche: "C'est pas grave si je me loupe, m'en fous, c'est que le bac de Français..."

Ca tient du paranormal, du surnaturel.

Je n'arrête pas de penser à lui, à la semaine qu'on va passer tous ensemble à l'Ile, loin des adultes, à mener une vie décadente et magique, à cumuler alcool tabac et manque de sommeil, au séjour à Bristol, aux fêtes déjà prévues pour cet été, à celles qui commencent à surgir, à celles que l'on songe à préparer.

Le Bac, c'est secondaire. Et l'oral, c'est lundi. Les points en retard, je m'en fiche. En fait non, mais si. C'est ma façon de me trouver une raison pour ne pas travailler.

Inquiètant, hein.

Mais je m'en fiche, je vous dis.

14 juin 2005

Merci Guilla!

Je souhaite dire un grand merci à Guilla pour ce superbe avatar (que j'utilise sur Poudlard.org). Cette fille est un génie.

Son blog, tout nouveau mais très original...

miniban

13 juin 2005

Ferme les yeux, regarde les étoiles.

Je regardais par la fenêtre en fermant les yeux. J'essayais de voir, mais uniquement ce que je m'imaginais.

Et pourtant. Pourtant. Elles deux, et hier soir. Tout ça le même jour, ça semble trop iréél pour que j'y croie. Je fais semblant de pas y croire. Et pourtant. Pourtant.

Je regardais par la fenêtre en fermant les yeux. Et maintenant?

7 juin 2005

Automodération.

Autocensure? Non, puisque ce n'est pas un avis. Enfin, si, si on prend le mot dans son sens le plus absolu. Mais on est pas toujours obligée de dire aux autres ce qu'on pense d'eux. Que ça soit bon ou mauvais.

C'est particulier. Du nouveau. Une nouvelle situation à laquelle je n'avais jamais été confrontée. Ou alors je ne me rappelle pas. Une situation on ne peut plus banale, pour changer un peu mes habitudes. Banale parce que je ne suis pas encore intervenue. Ca se compliquera dès que j'y poserai le doigt, et croyez-moi, je ne suis pas pressée d'y toucher. Je ne sais pas quoi faire, et même si j'avais déjà vécu ça, il vaudrait mieux que j'évite de refaire ce que j'ai déjà entrepris la fois précédente.

punaise


Tirer des enseignements de ses échecs.


Je continue à construire, le futur comme le présent. C'est embêtant vous savez. Ne plus savoir quoi penser ni quoi faire, parce qu'on ne sait plus si on se fait des illusions ou pas. Je rêve tellement que je doute de tous mes jugements. Et puis, ne se sont-ils pas tous révélés hâtifs, approximatifs, et souvent complètement à côté de la vérité?
Je préfère continuer à jouer mon petit rôle de jeune fille bien rangée, sympathique, drôle de temps en temps, imprévisible aussi, inexpliquée, parce qu'elle craque parfois et qu'on ne comprend pas très bien - ou que l'on comprend trop bien - le pourquoi de ses actions. Je préfère continuer dans ce petit rôle de fille parmi les autres, et attendre, spectatrice (impatiente) de ce quelque chose qui se met peut-être en place. Laissons faire les choses, laissons faire le temps. Ma mère a toujours raison, et je crois bien que c'est la première fois que je l'écoute. Et pour l'instant, mon histoire ne tourne pas au tragique. C'est déjà ça, hein.

Je collectionne les signes, j'accumule les preuves. Je les fait miroiter au soleil et je leur lance des sourires d'élevée.

Et tous les soirs, j'explose de rêves et d'illusions.

4 juin 2005

Ecoute.

Tu entends? Il. Il parle. C'est beau. Il parle. Il se dévoile.

Il parle.

Des heures entières, juste quand il parle. C'est tellement beau quand il parle, même s'il ne dit rien. Il parle, c'est tout, c'est simple. Mais c'est beau. Un fil tendu entre lui et le reste du monde, un fil fragile, trop fragile. Il parle et le temps s'arrête, et le monde reste en apesanteur, suspendu au flot léger de ses mots. Il parle, c'est beau.

Ecoute.

3 juin 2005

Halte.

Stop, on arrête tout on recommence. On évite d'être froide, d'abord, et ça c'est pas gagné.

Révélation, déception. Soulagement, un peu, aussi, je ne sais pas pourquoi. Déception surtout.

Grand vide autour grand vide dedans. Glacial, le vide.

3 juin 2005

Je ne sais plus parler.

Un souffle léger qui vient d'en bas, qui grandit, qui grandit jusqu'à ce que je voie. Le souffle est parti en même temps que lui, il s'est échappé comme il l'a fait. Fuire serait plus exact. Je devrais penser à autre chose. Commencer à réviser le bac. Mais j'avais dit lundi, donc ce sera lundi. Je n'ouvrirai pas mon sac avant lundi. En attendant j'erre. Je devrais prendre des photos. Elles ne seraient jamais aussi belles qu'aujourd'hui. Mais je ne sais que reproduire ce que je vois.
Velléitaire et sans imagination.

Je ne sais plus parler. Je n'arrive plus à vous dire. Peut-être n'y a t'il rien à dire, seulement des espoirs et des lubies, des songes de mes mains.

Sortez, mots, je vous libère enfin de ma poigne, je ne vous étouffe plus.

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